Journées chaudes et brulantes de pratique,
raboté par l’enseignement,
ouvert sur un éventail de fraicheur,
offert.
Michel
Merci grand merci pour votre présence à cette session d’été, moment de pratique incontournable pour un archer de Kyudo. On se retrouve dans cette période la plus chaude de l’année et remercions ce hasard qu’il en fut ainsi.
Savez vous que le maître hasard est une clause, un facteur dirait on en mathématique, important dans la somme des attentions que nous tentons de déployer pour réaliser notre objectif. Ainsi quelque chose en nous, permet qu’il ait son mot à dire. C’est une ouverture, un sourire à la vie qui nous englobe.
Merci Canicule.
Ainsi avec toute notre attention aux Kihons, elle remplit sa mission à notre insu.
Je suis rentré à la maison dans une bonne ambiance avec moi-même, observant tout ce que je pourrais améliorer pour le bien du groupe et de moi même.
J’ai baigné dans le vent qui s’engouffrait par les vitres ouvertes de la voiture dans un sentiment flou autant qu’agréable d’affermir mon engagement.
Le vent est un bon engrais pour nous fertiliser.
Je recevais ce matin de Dominique un petit film sur le Natsu Basho de Sumo ( la compétition d’été ) Quelle énergie déployée, rien de comparable dans le sport de haut niveau que nous connaissons dans nos régions.
Hier soir nous fêtions avec Marette, mon retour avec un petit restaurant et ce matin je m’attelai au jardin , pluie et chaleur agrémentent la terre du piémont d’une ambiance sub-tropicale, l’Afrique en Occitanie…..juste retour …….
Je lie vos petits mots, toujours trop retenus dans leur complication, mais je les apprécie et vous remercie….Et si vous êtes surpris de ma patience et ma ténacité, je le suis autant de vos prudences … Il est vrai beaucoup fut dit, peut être trop, mais là encore comme maitre Hasard, ne nous préoccupons pas de ce qui est oublié mais de ce qu’on oublie pas. Trop souvent votre « entre les deux » sanctionne …..
Et dès « qu’on a l’impression » de réaliser ce qu’il est demandé, dans ce petit espace de satisfaction, y jeter son œil implacable pour voir qu’on est tout bonnement « stoppé-net ».
J’ai concocté ce petit mot en tentant de répondre globalement dans cet instant du va et vient que j’affectionne quand on se parle ou qu’on s’écrit.
Promptitude du mot venté qui nous étreint.
Yusen
