108 flèches, quelques heures de pratique quasi-ininterrompues, à se noyer dans les kihons. Parfois la tête hors de l'eau, parfois de longues immersions à se perdre, se chercher...et soudain un rappel que l'on peut aussi respirer, se relâcher, s'oublier, autant qu'on peut....

Le Azushi nous invite à une pause impérieuse, assez appréciée de tous et toutes.

Réhumidifier le sable, remonter la butte, la lisser, la tasser,
pour accueillir à nouveau les cibles.

Et l'on reprend tous avec un regain d'énergie pour finir cette journée studieuse.