Lumières du couchant, annonce d’une fin, prélude à un début. Un entre-deux qui n’a ni début ni fin. Un instant en somme, paradoxalement fugace et éternel. Il est à regarder ainsi, sans état d’âme car il ne réfléchit pas et ne se regarde pas lui même. Il se contente d’être, offert au regard et à l’ouverture, sans rien en attendre. 

Que la nouvelle année y soit propice.
Meilleurs vœux 2016.

                                 Michel